5 bonnes raisons de participer à la TransMontréal
La cinquième édition de la TransMontréal, une course de 60 km qui sillonne la métropole, se tient le samedi 28 octobre prochain. Pour l’occasion, son organisateur Alexandre Emond propose cinq bonnes raisons d’y participer.
1— Une traversée haute en couleur
C’est lors d’une longue course de fin de semaine avec des amis qu’Alexandre Emond a eu l’idée de mettre sur pied la course TransMontréal. « Je me suis rendu compte qu’en ligne droite, de Senneville à la pointe est, l’île de Montréal se parcourt en environ 60 km, soit la distance idéale pour un “court” ultramarathon », se souvient-il. La traversée suit le bord de la rivière des Prairies, où se succèdent les parcs et les pistes cyclables.
2— Une absence de pression
La TransMontréal s’inscrit dans la plus pure tradition des courses de type « fat ass », raconte Alexandre Emond. « L’organisation est minimaliste. Le parcours est ouvert, les participants, quelques dizaines, sont en autonomie partielle et le chrono est manuel. Autrement dit : on court à la bonne franquette, sans se mettre de pression sur les épaules. »
3— Une bonne initiation à l’ultramarathon
L’absence de côtes sur le parcours, la température fraîche et la distance certes considérable, mais tout de même accessible font de la TransMontréal une course idéale pour réaliser un premier ultramarathon. « Les conditions sont faciles, mais il faut tout de même être un coureur sérieux. Parce que si tu abandonnes, tu es responsable de revenir à ta voiture… », prévient l’organisateur.
4— Un coût par kilomètre ridiculement bas
À environ 70 $ pour l’inscription (navette de retour inclus), il en coûte à peine plus d’un dollar par kilomètre pour participer à la TransMontréal. Bref, le coureur en a pour son argent! « Cela fait partie de l’esprit de ce type d’événement. En ce sens, nous allons à l’opposé de la flambée généralisée des prix d’événements de course à pied qu’on observe dans les dernières années », affirme Alexandre Emond.
5— Une aventure unique
Participer à la TransMontréal, c’est ranger son chronomètre et partir à l’aventure, advienne que pourra. « L’ambiance est bon enfant. Les participants courent les uns avec les autres, badinent aux quelques ravitaillements disséminés ici et là sur le parcours. Il y a une belle fraternité qui règne », conclut Alexandre Emond.
Photo : Course TransMontréal