Présenté par Tourisme Gaspésie
Destinations

Aventures automnales

Pour une virée colorée entre mer et montagnes, on met le cap sur la Gaspésie.

Le plein air québécois: un rêve accessible

  • Plein air accessible

Juste avant l’hiver, Géo Plein Air a réalisé un sondage auprès de ses lecteurs afin de connaître leurs habitudes de plein air. Voici les résultats. Il y a des habitudes ancrées profondément dans la société québécoise, et explorer la nature est une de celles-là. À la lumière du sondage mené au cours de l’automne sur notre site web, c’est la première conclusion qu’on peut tirer.

Évidemment, on s’adresse à des convertis, mais ceux-ci sont bien entourés: une bonne majorité (plus de 60%) des répondants affirme ainsi connaître cinq personnes ou plus dans leur entourage immédiat qui sont également des adeptes du plein air. C’est donc dire que les habitués des activités en nature forment une communauté qui va au-delà des simples mordus… et c’est très bien ainsi!

L’effet sentier

En général, ce sont toujours les mêmes activités qui sont les plus populaires: la randonnée pédestre domine toujours, tout comme le vélo de route et le camping. Mais certaines activités gagnent en popularité. Appelons ça l’«effet sentier»: la course à pied, qui n’a rien de bien nouveau, migre de plus en plus vers les sentiers, où cet exercice prend soudainement un tout autre sens – l’effort est différent, l’équipement aussi. Le vélo également se diversifie, peut-être en raison de l’émergence du fatbike. Toujours est-il que le vélo de montagne (au sens très large du terme) prend de l’ampleur cette année, par rapport aux sondages effectués dans le passé.

On remarque aussi que la course est une activité pratiquée par un peu plus de 80% des répondants à longueur d’année, même l’hiver. Coude à coude avec la raquette, c’est l’activité extérieure la plus pratiquée par nos lecteurs (et j’oserais ajouter, par nos collaborateurs également…). Viennent ensuite le ski de fond et le patin, des incontournables.

Ces activités possèdent toutes un point commun: elles sont très accessibles, peu importe où on se trouve dans la province, et elles peuvent aussi être très abordables. Pour courir l’hiver, il suffit d’ajouter des crampons à 30$ à ses chaussures et porter les vêtements appropriés, et le tour est joué.

S’équiper, combien ça coûte?

L’aspect économique du plein air a aussi été abordé dans ce sondage. Comme l’a constaté notre chroniqueur Jean-Sébastien Trudel dans notre dernier numéro, explorer la nature peut finir par coûter cher.

Cela dit, les gens qui ont répondu à notre enquête semblent contrôler leur budget. Pour la plupart, les dépenses estimées pour 2019 sont à classer dans la catégorie du gros bon sens. Les bons mots, les marques réputées et les conseils d’experts aident à prendre les bonnes décisions… Ça nous encourage à continuer de vous aider dans ce registre !

Sans surprise, les produits plus abordables, intéressent le plus les répondants, même s’ils se disent soucieux de la qualité et la durabilité. C’est bien beau consommer, quand on peut acheter un produit qui durera plus longtemps, ça vaut la peine d’y mettre le prix..

Ça tombe sous le sens. Ça cadre plutôt bien avec notre mission, à Géo Plein Air, qui consiste à vous faire rêver en présentant des activités et des destinations plein air inédites et originales, puis en proposant les meilleurs moyens pour y accéder. Le rêve accessible, en quelque sorte.

Bon plein air!